Nino Montalto
Le Zèbre à Pois

Le Zèbre à Pois

Nino Montalto et Diego Stirman

Présentent :

LE ZEBRE A POIS

Diego Stirman et Nino Montalto, authentiques descendants des charlatans du 19eme siècle, rassemblent dans ce spectacle tous les éclats des vendeurs d’élixir de la félicité, pour être tour à tour, artistes de cabaret, de cirque et de rue. Entre marionnettistes, magiciens, fantaisistes…ou poètes, s’ils donnent à voir, c’est par petites touches, par jeu-reflet, en quelque sorte un spectacle de curiosité.

Pepita, la puce savante, acrobate et polyglotte, dressée avec pas-science par le Professeur Stirman et son fidèle assistant Nino. Les prouesses s’ensuivent avec précision entomologique. Il n’y a que les sourds qui ne la voient pas, ça va de soi…

Historique du spectacle

Le Zebre à pois est une aventure qui dure depuis 1993, quand Nino Montalto orchestra l'opération de soutien du ciné théâtre Le Berry, à Belleville.
Tous les lundis, il donna carte blanche à des artistes, qui insufflent une nouvelle vitalité, à la fois magnifique et poétique, au vieux cinéma.
Cette opération connaît un tel succès, que pour perpétuer l'esprit si particulier né au Berry, il fonde la compagnie du Zèbre à Pois avec la complicité de Diègo Stirman.
Cette compagnie crée le spectacle "European Microscopicus Circus" avec lequel elle continue de tourner avec un succès jamais démenti.

Le spectacle est diffusé entre 1993 et 2003, pour ne citer que quelques dates, à Zarzis (Tunisie), Bognor Regis, Brighton (Angleterre), Venise, Milan (Italie), Lisbonne (Portugal), Hidra (Grèce), Québec, Hanovre (Allemagne), Messinet (Italie), Zurich (Suisse), Dordrecht (Hollande), Sotteville-les Rouen, Annecy, Aurillac, Brest, Morlaix, Sarran (France), Villadecan, Barcelona, Victoria, Bilbao (Espagne),...

Association de bienfaiteurs.

Du grand art clownesque diablement absurde.

Soit Diego et Nino, deux clowns. Le premier est presque sérieux. Le deuxième est quasiment maladroit. L’un est argentin, l’autre sicilien. Cocasse colloque international. Ces deux grands spécialistes du ratage contrôlé sont des bonimenteurs, charlatans, tchatcheurs. Que de la gueule. Mais uniquement pour les fines bouches. Car évidement, assister au numéro de claquette de l’improbable Pépita (alias Manuella Gonzalez Munoz), seule puce savante, acrobate et polyglotte, est un rare plaisir d’esthète. Autre clou de ce spectacle « triomphal » : une partie de pêche où l’on aperçoit que les bateaux ont des jambes (de quoi se gondoler), les exploits de Télépatik-Man et l’imparable chanson en sabir hispano-italien qui donne son titre au spectacle (« Troumpi-troumpi ne signifie rien d’autre que trompé trompé…) Du grand art confectionné artisanalement. Une conception pas du tout avant-gardiste du spectacle mais diablement surréelle. Le tout placé sous le patronage de l’hypothétique Meschiguene Schmendrik (en yiddish, ça veut dire fou taré…) maître à penser et fondateur du mouvement statique. Un must.

Durée du spectacle : 50 minutes (idéal pour les scolaires).
Contact par la page contact du site.

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